Leslie Re29 - Souvenirs – La Petite Trans Thaïe

Leslie RE29 – Les récits érotiques
Souvenirs – La petite trans thaïe

Chaque homme a en lui une partie cachée, le fantasme secret inavoué et parfois jamais assouvi et même, s’ils sont des sodomites convaincus, il n’en reste pas moins qu’une partie d’eux-mêmes aimerait tenter l’expérience, se faire sodomiser…
Et comme ils plaisantent souvent et le disent, ne cesseraient-ce que pour ne pas mourir idiots…
Mais en revanche, lors de leurs relations, ils ne restent pas insensibles au doigt effleurant leur anus et voir même un doigt dans leur cul, caresse qui leur rappelle ce fantasme inavoué et inassouvi car jamais au grand jamais, ils ne sont passés à l’acte, se faire sodomiser…
Mais parfois…

Un jour, lors d’une conversation agréablement sensuelle avec une femme et sans doute agréablement alcoolisée, lors d’une rencontre improbable dans un lieu tout aussi improbable, cette jolie femme qu’ils aimeraient bien coucher sans leur lit et sodomiser, leur dit que hommes qui tiennent tant à pénétrer l’anus de leur amante, feraient bien d’être au moins une fois à la place de la sodomisée pour savoir vraiment ce que ça fait de l’être…
Et là, ils réalisent que ce fantasme, ce désir caché, pourrait devenir réalité et dans leur esprit germe l’idée des se dire et pourquoi pas, et s’ils se faisaient enculer une fois pour savoir vraiment ce que ça fait !
Pendant des jours et des semaines, cette pensée les hante, ils en viennent même à changer leurs habitudes, ils commencent à fréquenter des sites pornographiques pour voir, pas des sites gays car ils ne se considèrent pas comme homosexuels, mais plutôt les sites transgenres où les trans sont avec des hommes parce que comme ils « ce n’est pas pareil », considérant les trans plus comme des femmes.

La vue d’une jolie shemale en train d’enculer un homme qu’ils imaginent être eux, génèrent souvent de puissantes émotions, et devant les images qui défilent, ils n’hésitent pas à se caresser en allant jusqu’à maculer leur bas-ventre pas de puissantes éjaculations.

Puis vient le moment où ils se disent que le meilleur moyen de faire cesser cette tentation qui les hantent est d’y succomber, alors ils se connectent sur des sites d’escortes transsexuelles à la recherche de la perle rare et en espérant la plupart du temps sur la rubrique « asiatique », un autre fantasme…
Ils sont tous d’abord effarés du nombre de sites disponibles sur le net, Paris étant la place forte, la fourmilière pour toute recherche.

Souvent le seul obstacle à la réalisation de leur fantasme, c’est qu’il faut payer, mais trouver une transsexuelle qui plaise physiquement et qui propose une relation non vénale est véritablement une mission impossible, un véritable parcours du combattant où chance et hasard vont de pair.
Alors à force de persévérance et de fouilles sur le web, ils peuvent tomber par hasard ou découvrir enfin une annonce ou un site dédié aux annonces pour les trans non vénales. Ensuite c’est la recherche au trésor, ils doivent lire les annonces, les descriptions, les services offerts et enfin, quand il y en a, les évaluations, sans oublier les photos, une recherche qui prend un certain temps sans assurance de satisfaction. Mais le plus important pour la réalisation finale, il faut trouver la trans qui précise être active et pas seulement passive comme certaines.

Beaucoup resterons dans leur fantasme, ne passant pas le cap d’oser, d’autres passeront le cap en allant voir des escortes et paieront pour les services proposés et rendus, mais peu resteront dans l’espoir de rencontrer une trans qui fait des rencontres pour le plaisir.
Certains auront aussi la chance de faire une rencontre dans des boîtes spécialisées ou des bars-restaurant qui accueillent des trans, mais recherche pas évidente.
Certains sont plus chanceux sue d’autres tout particulièrement cet homme qui cherchait depuis quelque temps et qui est tombé sur l’annonce suivante :
« Jeune transsexuelle amateur, d’origine thaïlandaise, récemment installée à Paris, recherche rencontre avec homme pour relations romantiques non vénales ».
Par principe méfiant, il envoie néanmoins un message pour établir un contact et tenter d’aller plus loin, et avoir un rendez-vous avec cette trans. Durant les jours qui suivirent aucune réponse de cette mystérieuse créature ne tomba dans sa messagerie…
Il retourna souvent sur le site pour relire l’annonce qui avait attiré son attention, puis un soir en rentrant chez lui après son travail, il vit une réponse à son message et la réponse en question comportait un lien vers un autre site d’annonce où se trouvaient un certain nombre d’annonces de trans plus complètes et comportant pour certaines des photos, celle de sa recherche y était.
« Bonjour, le seul moyen de se débarrasser d’une tentation c’est d’y céder au plus vite et sans aucun regret car dans la vie on ne regrette que ce qu’on n’a pas vécu. Je ne rencontre que des personnes d’esprit ouvert qui aiment les belles transsexuelles féminines, d’origine asiatique, je suis de préférence active et je suis non vénale. Mon hygiène est parfaite et irréprochable, qu’il en soit de même pour vous !
Si c’est votre première fois avec une transsexuelle, alors laissez-vous aller à la tentation et testez une expérience différente avec une femme comme moi
Les rencontres se font à Paris uniquement, je peux recevoir dans un cadre discret dans le quartier du Marais. Vous pouvez me contacter par mail.
A bientôt, Mint ».
Adresse mail et photos étaient jointes à l’annonce…

À vrai dire, ce qui l’avait attiré avant de lire le texte, c’est la photo de ladite Mint, nue dans sa douche, le visage coupé pour qu’on ne puisse pas la reconnaître. Un corps très féminin, avec des petits seins, peut-être pas refaits, et une jolie petite queue entre les jambes, mais contrairement à ce qui se dit sur les dimensions des sexes des asiatiques, la taille de celle de Mint est importante à ses yeux, mais rien à voir aux monstres que certaines trans présentent sur les sites d’escorte, au moins Mint possédait une queue aux dimensions raisonnables.

Il lui a envoyé un message et a apprécié qu’elle y réponde dans l’heure suivante précisant qu’elle serait ravie de dialoguer avec lui pour voir si une première rencontre était possible et voir si elle connait suite…
Comme elle a mis dans sa réponse son numéro de portable, il décide d’appeler cette Mint aussitôt pour la convaincre de cette éventuelle première rencontre.
Elle a décroché aussitôt, et il fût surpris par la voix assez grave de Mint, après un moment de conversation le courant passant, elle lui propose spontanément de venir prendre un verre dans un café du Marais, mais comme il était dix-neuf heures, en gentlemen il l’a invité à diner dans le restaurant de son choix.
Elle lui a donné rendez-vous pour vingt-heure trente au resto Le Chant des voyelles, rue des Lombards dans le cœur du Marais, me précisant qu’elle y a ses habitudes et que l’ambiance est agréable.

Le temps qu’il se prépare, il se rendit au rendez-vous à deux pas de l'église Saint-Merry et trouva le resto situé au coin de la rue des Lombards et de la rue Saint Martin
Elle l’attendait assise à une table avec comme convenu entre eux, le livre rouge posé sur la table. Après un bonsoir en s’asseyant il découvre avec bonheur une très jolie asiatique, au visage ravissant dont on ne pourrait soupçonner que ce n’est pas celui d’une femme car le corps tout aussi féminin avec une taille très fine, de longues jambes dévoilées par une mini-jupe qui s’arrête au milieu des cuisses et une petite poitrine aguichante moulée par un pull en cachemire très ajusté.
Il la regarde un moment en se demandant comment une créature comme cette jeune thaïe, féminine à souhait, pouvait paraitre en femme et cacher un sexe d’homme…
Une fois installé à la table elle l’accueille en souriant, un sourire qui lui crée instantanément une érection en se disant qu’il est prêt à la suivre vers des horizons inconnus…
Ils entament la conversation et passent commande, après un apéritif, ils sont servis et apparemment pendant le diner le charme opère.
Une heure et demie plus tard, après un diner succulent et une complicité apparente, c’est tout naturellement que Mint suggère qu’il la suive dans son appartement, boire un verre et faire connaissance plus intimement…
Il règle l’addition et Mint l’entraîne, à une minute de là, jusqu’à l’entrée de son immeuble.

Elle habite un grand trois-pièces au troisième étage dans un immeuble qui en comporte cinq, dans une rue piétonne bien arborée, près du centre Pompidou.
Dans l’ascenseur, Mint se serre contre lui, il se croit soudain en tête-à-tête avec un ange et se laisse guider après qu’elle a ouvert la porte pour le laisser entrer, puis la verrouille sitôt qu’ils soient tous deux entrés, et aussitôt elle prend dans ses bras et lui roule une énorme pèle.
Un peu hésitant au départ mais emporté par son désir de vivre cette aventure, il cède et entremêle sa langue à celle de Mint et sans relâcher son étreinte, doucement, elle le conduit jusqu’au canapé où ils s’écroulent tous deux.
Puis elle se détache de lui et prépare deux verres, ils trinquent et devant lui elle entreprend de se déshabiller…

A suivre…